dimanche 29 août 2010

So back to the start.

Je viens de passer une dernière semaine de vacances plutôt (très) chouette, moi qui pensais être condamnée à attendre la rentrée à déprimer chez moi, et bien non, ces derniers jours se sont déroulés au bord d'une piscine, le monoï dans une main, les verre de jus d'orange dans l'autre et trois supers copines pour finaliser le tout. Mais .. Dans quatre petits jours, à nous les feuilles, les bureaux, les cahiers, les agendas, le self, et les récréations. C'est ouf. Après deux mois de n'importe quoi, hophop, du jour au lendemain le mot d'ordre sera : ri-geur ! (aïe). Le seul point positif dans la rentrée et la reprise d'une année, c'est les nouvelles tendances automne/hiver qui arrivent. Et je ne sait pas si ça vous fait pareil, mais quand vous voyez tout ça, une envie subite de tout acheter, de tout avoir maintenant, d'aller dévaliser les boutiques. Et là ce matin je bave sur Urban Outfitters (comme tous les jours), et je vous poste quelques coups de coeurs.


















lundi 23 août 2010

"J'ai de l'herbe dans la bouche !"














Après 3 jours de fêtes, de rires, d'alcool et de conneries en tout genre ; il est temps pour moi d'aller au lit.

vendredi 20 août 2010

Free-hugs !









La période "hippie", une époque qui m'a toujours fascinée (comme d'autres), mais celle là vraiment beaucoup. Déjà, rien que par leur expression fétiche : peace and love, une idée que tout le monde devrait adopter, mais qui est aujourd'hui inconcevable ! Pourtant ce n'étais pas des utopistes, puisqu'ils arrivaient à fonctionner de cette manière. Puis ce que était cool aussi c'était leur idéaux : une vie centrée sur la liberté, le sexe et la musique, la nature etc .. quoi de plus simples ? aha. Etre hippie, c'était avant tout un état d'esprit. Puis bon moi aussi j'en veux des bandeaux, des perles, des longs colliers, des fleurs dans le cheveux, du parfum au patchouli, je veux me réveiller un matin, prendre mon Van, prendre mes amis, et rouler rouler un jour de beau temps, les guitares en mains, des substances illicites à plein nez, les fenêtres ouvertes, les cheveux aux vents, puis .. arriver dans une immense zone vide, et retrouver des milliers de hippies venu se rassembler eux aussi pour vire une expérience unique : un festival musical nommé Woodstock avec du Bobo Dylan et du Jimmy Hendrix !Je veux dormir allongée dans l'herbe, la tête vers les étoiles. Je veux des "free hugs" à tout va. Je voudrais vivre tout ça, juste, juste une journée.

lundi 16 août 2010

Prenez donc une tasse de thé, et écoutez-moi.


Encore une journée écoulée .. Franchement, les vacances c'est bien beau, mais au bout d'un moment ça finit par en être ennuyant. C'est il y a des jours où tu ne sors pas, tu es là, entre la télévision, l'ordinateur, ton téléphone portable, ta chambre, ton jardin, ta cuisine, ta musique, ton canapé. Alors parfois, ces journées dans son petit monde, à ne rien faire sont tout à fait appréciables, mais à la longue j'émet un "stop". Et c'est à ce moment là, que le petit coup de blues se fait sentir, et que les pensées laissent la voie aux angoisses, aux attentes, et à toutes les questions existentielles qui s'entremêlent dans notre tête. Pour remédier à cela, je décide de penser, rêver au passé, au présent, au futur à des choses qui nous paressent inaccessibles (ou pas), des désirs, capables de laisser un instant s'évader le pathétique de la situation. On a tous besoin de croire que quelque chose existe au delà de la banalité du quotidien. Être capable de se transformer en quelque chose de mieux, même si personne ne croit en vous. Quelques chose pour se persuader que la vie vaut la peine d'être vécue, malgré tout. Et finalement, je retrouve le sourire .. et finalement ce jour de déprime et d'ennuis ce transforme en un petit instant d'évasion, plutôt agréable sur la terrasse, une thé, une clope, un biscuit et un sourire en coin. C'est ça qui est fort. Essayez, et vous verrez.

samedi 14 août 2010

A vos bagues, prêt, par-tez !





Salut les geeks, je viens de trier mes bijoux qui étaient en bordel dans ma boîte, parce que je me suis dis que je suis que ça ne pouvait plus durer ce petit foutoir et là je me suis dis :

On a tous des bijoux, des breloques, des grigris, des petites choses dont on ne sépare jamais vraiment. De la bague de l'arrière grand-mère léguée de génération en génération, en passant par le bracelet acheté en fripe à 1.90 euros, la paire de boucle d'oreilles basique de chez Claire's (oui et on assume) mais aussi la croix en argent reçue pour son douzième anniversaire, le coquillage qui servira de pendentif déniché au bord de l'eau et même pour finir la petite bague trouvée dans le sable rouillée mais qu'on ne peux laisser là. Peu importe, le but est le même. On trouve un certain réconfort, un coté rassurant à tous ces objets. Le raison de les porter est symbolique, on se dit qu'on réussira peut être mieux telle ou telle chose, qu'on aura plus de chance si on accompagne ça sur nous. Puis on porte tout ça, aussi (et beaucoup) pour se donner un style, on pense que ça rajoute un petit plus, peut être le must, la cerise sur le gâteau à notre tenue. Quelque chose qui finit d'accorder le style recherché pour la tenue, pour compléter le personnage que le devient tel ou tel jour. Oui parce que la mode c'est ça, des qu'on enfile un vêtement on devient "quelqu'un". Tout cela pour vous dire que, que ce soit par superstition, ou par pure question d'apparence, ou bien les deux que nous gardons tout cela ; nous avons raison !