Il est des moments où il faudrait oublier les vieux espoirs et s'en créer de nouveaux.
Tu penses à moi parfois ? Ne me ment pas, je le sais, tu n'y penses pas. Pas une minute je n'effleure tes douces pensées, même pas une seconde pour m'y faire croire rien qu'un peu. Tu ne vois donc rien ? Tu ne vois donc pas que je me tue à vouloir te manquer, à vouloir que tu veuilles encore de moi, que tu ne me dises rien qu'un mot pour me donner l'illusion d'une tendresse venant de ton cœur, que je m'efforce de ne pas lâcher. Un néant inconnu s'empare de moi, me cri de t'oublier et me supplie de ne plus t'aimer. Je n'y crois plus, c'est fini.
« Il y a des moments où il faut choisir entre vivre sa propre vie pleinement, entièrement, complètement, ou traîner l'existence dégradante, creuse et fausse que le monde, dans son hypocrisie, nous impose. »
1 commentaire:
la photo est parfaite.
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